Sont actuellement disponibles les présentations suivantes :
La poste ferroviaire en Chinonais (1864-1970) : la collection montre les timbres à date de la Poste Ferroviaire (Bureaux Ambulants, Courriers-Convoyeurs et Préposés à la gare) qui ont été employés sur les lignes traversant l'arrondissement de Chinon. Elle commence en 1864 (l'année de la création du bureau ambulant Tours à La Rochelle) et prend fin en 1970 (l'année de la fermeture de la ligne Thouars - Chinon pour les trains de voyageurs).
Cette collection met l'accent sur l'histoire postale ferroviaire des lignes traversant l'arrondissement de Chinon.
Les marques postales de l'arrondissement de Chinon (1792 - 1884) : l'arrondissement de Chinon fut créé en 1800. Il succéda aux districts de Chinon et Langeais, créés comme division administrative du département de l'Indre et Loire en 1790. En 1824, le canton de Château-la-Vallière quitte l'arrondissement de Chinon et est réuni à celui de Tours. Donc, à partir de cette date et jusqu'au redécoupage cantonal de 2014, l'arrondissement de Chinon est composé de sept cantons : Azay-le-Rideau, Bourgueil, Chinon, L'Île-Bouchard, Langeais, Richelieu et Sainte-Maure-de-Touraine.
Cette collection met l'accent sur l'histoire postale de l'arrondissement de Chinon et montre l'utilisation des marques postales dans cette région.
Les Cantons de Saint-Jean-de-Luz et d'Hendaye - Marques Postales 1792 - 1914 : Une direction de poste fut ouverte à Saint-Jean-de-Luz vers 1710, et dans le canton d'Hendaye, un bureau de distribution à Béhobie en 1841 qui devint un bureau de direction en 1844. En 1790, les deux cantons firent partie du département des Basses Pyrénées (n° 64), appelé Pyrénées Atlantiques depuis 1969. Le 1er chapitre de cette collection traite le courrier géré par les bureaux sédentaires qui se trouvent dans les deux cantons et par la poste ferroviaire sur la ligne Irun à Bayonne. Le 2° chapitre traite le courrier international traversant les deux cantons par la voie de terre. Elle montre l'évolution des services postaux de la France et des états plus au nord avec l'Espagne et Portugal et des états plus au sud de ceux-ci. Pour maîtriser le volume du courrier international, la Poste s'appuya sur les services des bureaux sédentaires (Bayonne, St. Jean-de-Luz, Paris) et sur les ambulants partant de Bayonne pour Bordeaux à partir de 1860 et d'Irun à partir de 1864.
Cette collection met l'accent sur l'histoire postale de la circonscription postale de St. Jean-de-Luz et montre l'utilisation des marques postales dans ce territoire.
La samba Brésilienne : entre le 30 juin 1988 et le 1 juillet 1998, soit en une décade, le Brésil a connu une période d'intense inflation. Pour ce qui concerne uniquement la poste, ce ne sont pas moins de soixante-dix changements de tarifs qu'ont eu à subir les utilisateurs.
Face à cette explosion, le pays a émis des timbres sans valeur faciale, celle-ci étant remplacée par le service auquel correspondait le timbre. Ceux-ci avaient une valeur fiduciaire qui évoluait avec le temps. Il a également changé quatre fois de monnaie, passant du cruzado au nouveau cruzado, puis de celui-ci au cruzeiro, puis du cruzeiro au cruzeiro real et, enfin, du cruzeiro real au real.
Il a aussi expérimenté un timbre spécial pour la taxe de recommandation, celui-ci pouvant servir à matérialiser du paiement de la taxe mais aussi, plus simplement, être utilisé pour l'affranchissement "ordinaire" du courrier. On peut ainsi trouver ce timbre sur des lettres ordinaires, non recommandées.
La présentation est accessible via le lien suivant : http://www.exponet.info/exhibit.php?exhibit_ID=924&lng=EN Il vous faut simplement recopier cette chaîne de caractères dans votre navigateur et le lancer. Vous verrez alors la présentation.
Sur un air de czardas : en Hongrie, entre le 14 janvier et le 30 juin 1946, le prix d'une lettre locale de moins de 20g a été multiplié par... six cents millions ! Cette hyperinflation, monstrueuse, est réputée être la plus importante du monde, de tous temps et en tous lieux, devant le Zimbabwe et la Yougoslavie, l'Allemagne très souvent associée au mot inflation n'étant que... quatrième.
L'affranchissement du courrier, en cas d'hyperinflation, pose à toute administration postale le problème de la production de timbres en nombre suffisant et à la bonne valeur. Le prix des matières premières (papier, encre, colle...) augmentant sans cesse, il est intéressant de produire le plus de timbres possible le plus tôt possible. D'un autre côté, le prix des services en échange desquels le courrier est affranchi augmentant sans cesse, il ne sert à rien de produire des objets qui vont devenir obsolètes dès le lendemain.
La poste, en cas d'hyperinflation, est donc placée devant un dilemme que l'on peut résumer ainsi : "ni trop, ni trop peu". Parmi toutes les techniques qu'a expérimenté la Hongrie, il en est une qui consistait à surcharger d'anciennes valeurs par l'usage auquel étaient destinés les timbres.
Cette étude présente cette série de timbres à valeur correspondant à l'usage pour lequel ils ont été faits et les conséquences de leur utilisation sur l'affranchissement du courrier, entre le 14 janvier, date d'émission de la première série, et le 30 juin 1946, date à laquelle ils ont, tous, perdu toute légitimité.
La présentation est accessible via le lien suivant : http://www.exponet.info/exhibit.php?exhibit_ID=823&lng=EN Il vous faut simplement recopier cette chaîne de caractères dans votre navigateur et le lancer. Vous verrez alors la présentation.
NB : ces deux dernières collections sont présentées dans un musée virtuel situé physiquement en Tchéquie, appelé Virtual EXPONET. Son accès est gratuit. Il contient de très nombreuses présentations, sur des sujets très variés. Sa visite est fortement recommandée. On peut également y exposer de nouvelles collections.
D'autres seront affichées bientôt.
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